Mon enfance, j’étais un enfant très désiré. Ma mère est une sang mêlée et mon père un sang pur. Mon père c’est fait rejeter par sa famille, qui voulait qu’il reste dans la pureté du sang. Ils se sont mariés avec seulement leur ami et la famille de ma mère. Il avait essayé plus d’une fois d’avoir un enfant. Rien à faire, ils n’arrivaient pas à avoir des enfants. Puis, en 1996, j’arrive au monde. La grossesse fut très surveillé et je fus surprotégé par ma mère. Mon grand-père paternel est venu me voir quand j’avais huit ans. Il a vu certainement en moi ce qu’il espérait voir chez un sang pur. Il décide de faire mon éducation et m’achète tout ce dont j’avais besoins. Il me fit montrer au grand monde, ne cachant pas ma nature. Disant que j’avais plus du sang pur que du sang mêlé. Je croyais que c’était de l’amour, mais je m’étais trompé.


J'avais dix ans, quand je surpris une conversation entre mon père et mon grand-père. Celle-ci se portait sur moi, mon père disait que mon grand-père n’avait pas droit de m’utiliser pour ses fins personnelles. Ce fut une violente dispute qui éclata entre eux. Puis, j’entre et donne raison à mon père. Je dis à mon grand-père que je n’aimais pas les grandes réceptions et que je n’étais pas une personne qu’on achetait. Depuis, ce jour, je ne revus jamais le père de mon père.

Ce fut un soulagement, mais aussi une déception. Un soulagement, car je n’avais plus avoir peur de faire quelque chose de mal. Une déception parce que j’avais cru en ses belles paroles. Je m’en suis voulu pendant un moment.


Lors de mes onze ans, j’étais pressée de recevoir ma lettre. Je savais que j’irais à Poudlard tout comme mes parents. Enfant, mes parents m’avaient raconté leur année scolaire à Poudlard. J’espérais tomber chez les Gryffondor qui étaient d’après moi une maison qui me correspondait vraiment. On me parlait souvent des bons souvenirs dans les salles communes, lors des sortis à près au lard. C’est donc avec un cri de joie que je sautai sur le lit de mes parents quand la chouette était arrivée avec la lettre de Poudlard. Mon père m’emmena sur le chemin de traverse. Il rencontra des collègues de boulots et je me cachai derrière lui, lui tenant la jambe. Le premier endroit où on est allez ces gringott et je faillis faire une attaque cardiaque devant les gobelins. Ces créatures n’avaient rien de commode. Je rendis mon déjeuner quand on prit l’espèce de wagons pour aller jusqu’à notre coffre. Bien sûr le gobelin n’a pas eu l’air de vraiment apprécier. Enfin, quand on sort de la banque c’est pour aller chercher ma baguette chez Olivander. Ma baguette fut très difficile à trouver. Je détruisis la moitié des étagères du magasin. Il finit par sortir une baguette en bois d’if. Quand, je pris la baguette, je sentis une sorte de connexions entre elle et moi. J’avais l’impression d’avoir trouvé mon âme sœur. Une lumière blanche se fit voir quand mes doigts prirent contact avec le bois. « Je vois, vous allez devenir un grand sorcier, monsieur Lienster. » Je n’ai jamais vraiment compris cette phrase du vendeur, mais j’étais content une baguette avait bien voulu de moi.


La répartition, à peine posée sur ma tête que le choixpeau dit Gryffondor. Des applaudissements venant des trois autres maisons et un cri de joie venant de ma future maison. Les trois premières furent magiques et surtout je ne pensais pas vraiment aux amours. J’avais plus en tête de me faire le plus d’amis possible. De participer à la victoire de notre maison sur les autres maisons. Je me trouvai une grande passion pour la musique et surtout pour le chant. J’avais découvert cette passion en rentrant dans un club de poudlard.


Troisième année, voilà une année qui fut remplie de doutes et d’incertitude. J’avais l’impression de fuir ce que j’étais réellement. J’avais l’impression de ne pas être normal et d’être différent des autres. Quand, les autres garçons disaient « elle super belle celle-ci », moi je pensais, elle est super sympa. Quand, ils disaient « Il est cool, le nouveau prof de métamorphose. », moi je pensais, il est super sexy. Je finis par sortir avec des filles, juste pour essayer de ressentir quelque chose. Je finis par avoir la réputation de don Juan. J’avais le physique avantageux qui faisait que beaucoup fille ne me résistait pas surtout face à un simple sourire de ma pars. Puis, lors de ma sixième année, une soirée bien arroser et c’est un mec que j’embrasse. Là, je ne ressentis pas mal de frisson au fond de moi. J’étais enfin vivant. J’eus du mal à m’accepter et c’est en fin de septième année que je sortis enfin du placard. Je pensais avoir fini avec Poudlard, mais le directeur nous annonce qu’il ouvre une branche universitaire. J’accepte avec plaisir et à du mal à trouver la voie dans laquelle je veux me lancer. J’hésite entre Flamel et Moldubec. Dans la filière Flamel, la carrière d’Auror m’attirait beaucoup, mais se fut la filière Moldubec qui me fit de l’œil. Je pris la carrière musique.