« Camille Deniger »
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| Sujet: Camille - As tu touché un drapeau au vent ? Sam 8 Nov - 13:26 | |
| Camille DENIGER " As-tu touché un drapeau au vent ? " Feat. Michael Fassbender Nom Deniger Prénoms Camille lieu de naissance Londres Age 35 ans Métier ou Année d’étude Professeur de Métamorphose (si possible) Ex-Maison (plus de 18 ans) Serpentard Baguette Bois de Sapin, écaille de Caïman Patronus Ocelot Animal de compagnie Marc-Antoine. Petit hiboux noir aux airs taciturnes Statut civil Célibataire Statut Financier Aucune Donnée. Sang Mêlé Epouvantard Une paire de soulier de danse. Amortancia Amande brûlée, pluie Forestière, bois de rose sort favori Aguamentis
| Il est en ce monde, bon nombre de secrètes légendes. Couleurs multiple, tel l'incompréhensible symétrie d'une toile moderne c'est une explosion de teinte qu'est une histoire contée. Cependant, sachez lecteur, que l'épopée suivante est plus brève qu'un souffle du verglas à l'aube de la nuit. C'est la justice des hommes, et de leurs siècles de guerre.Le propos de tous ces gestes creux, sans sens, vidés de substances. Car on m'eus dit un jour que sous la peau du dieu, gisait un miroir guère plus beau qu'un Borbeux*. Ridicule de taille, faible de luisance, jamais il n'attira le regard de ses divins collègues, et c'est ainsi qu'il vogua les mers brumes du Temps. Fait d'espace ou de rêve jamais son hôte ne sut quel reflet jouait son lisse verre fragile. L'oubli l'envola et Personne ne se souvint du petit Miroir éteint. Hélas un jour, L'Apocalypse vint, le Dieu fut souverain de la mort et par l'éclair vengeur du haut jusqu'au bas fut coupé bien droit. Tout naturellement, le miroir se brisa et dans le chant du soir son éclat s'alluma. Criant sa douleur, son refuge perdu, il tomba jusqu'au sol, terre des Méfaits humains. Milles morceaux sur le vent, s'envolèrent en tous coin, des Indes aux pôles lunaires, des terres du Matin, jusqu'à celles de l'espoir. C'est conséquemment lecteur, que tout un chacun, profondément, en son sein, porte un fragment de l'Orphelin. Et tremblant de grasse par l'Ange messager son nom fut dévoilé. Miroir de la Vérité. Car La Vérité n'a de sens que lorsque les esprit s'assemblent pour l'écrire en l'encre des Bons Amis.
Camille est un homme terre à terre. Froid et distant, il préfère la concisions des vérités scientifiques aux Débats fantasques des artistes. Ayant suivi une éducation libre et sauvage, Deniger apprécie le grand air et les contrées vertes d'Ecosse, aussi il aime tout particulier les grandes balades au solitaire, au clair de lune. Taciturne, sévère et stricte, ses élèves lui reconnaissent un don inné pour les Punitions inventivement sadiques. Néanmoins, l'irresponsabilités de certains de ses élèves expriment en son cœur de pierre un étrange ressenti de compassion. Muet, réfléchit, adroit, il est un rat invertébré des bibliothèque et tient en haute estime les esprits avisés. L'intelligence, la rigidité, le professionnalisme semble le définir parfaitement. Tenez le vous pour dit, il semble impossible de percer à jour l'âme joyeuse que fut en un jour oublié Camille Déniger.
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Il faut bien que la vieillesse se passe. Il est né aux trouées d'un bois ; à l'ombrée du Grand Chêne. Que la vie y fut simple, boire la paume des pierres après l'orage du soir; recueillir la rosée pleurée d'une rose, nettoyer de son fil limpide la poussière des choses. Chasser les lucioles, percer un grand boc de la ville, allumer une lampe et quelques rêves futiles. S'oublier au temps - et aux toutes vagues qui passent-, s'oublier au vent, car il est beau d'être mirage. Enfant sauvage, de nulle part - mais d'ailleurs -, enfant du rivage, coquillages en cheveux, pas de cerise à l'oreille, pas de rouge à la lèvre. Ses joues trop bleues, bleuis ses souvenirs d'un père. Maman était Manouche, pêcheuse des courants du Sud; d'une terre d'un aïlleul, elle avait fuit l'amour. Arnica, le nom d'une plante qui appose les blessures. Arnica,, concoctait les poissons que la mer lui offrait avec le gravier fin. Et il y avait eu du sable, entre ses fesses de bambin, dans son oreille, l'abnégation de l'écume sous le dessous des cloches. Accostés aux villages, bateaux en proue de proies, ils voguaient sommeillants les volants souffles du soi. Enfance, maritime, petit goellant gris, Camille fut nommer pour une fille qui ne nacquit. On efface les larmes, alors. On efface les larmes. Arnica s'étiolait, sous les marées vaguées, les ourlets de la Manche lui taillent les promettes et comme un creux qui hante ; la joie se fut volée. Plus d'affect du sel; vaporeux sur l'air vif, Plus l'affect des sauterelles, et des rires de la nature. Elle fut sorcière, jadis, antan, elle fut l'orchestre du Monde sorcier, des étincelles au coin des paumes, des farces colorées. Elle fut déçue, aussi, des barbelés Nazis qu'aucun natif dit " pur "ne coupa par Magie. Pour Joseph, Marc, Ori. Une Maman. Un paire. Les soldats en fusil à qui, à la racine une fleur fut écrêtée. Un jour le bateau était là pour les porter par delà l'abîme, l'abysse d'une bien vieille France. Ils vécurent du même, caravane bariolée, lampion, gîte des fées. Et les mêmes Montagnes. Et les mêmes rivières. Avec les premières filles du printemps, jolies robes en mousseline, Camille connu l'affection enfantine. Dix ans. Le discours, simple. " Il ira à l'école" Dit-elle un jour. Certainement, le sifflet-elle aux morts; personne n'était là pour ceuillir la parole. Poudlard arriva, trop vite et trop fort. On arracha Arnica, le vent sur l'eau, l'eau sur la peau. Brillant, il forgea en lui l'âme ferraille d'un Grand Nom. Métamorphose, métamorphage, Médicomage ou Ministère. Tous les métiers qu'ils lui taillirent, ses professeurs. Camille n'en buvait pas, n'en goûtait pas, n'en voulait pas ; il n'aspirait qu'au vent sur l'eau, qu'à l'eau sur la peau. Diplômes en poches, poches en vide, il fuit sur le chemin des conquêtes d'un soir. Germant dans l'allégresse des pissenlits du bas-côté, le corbeau gris des Mers sema ses Lauriers. Soudain il y eut une blonde - comme un p'tit coquelicot mon âme, comme un p'tit coquelicot- dans la lumière de l'été, au beau milieu d'un chant de blé. On efface les larmes, alors. On efface les larmes.Epousée du soleil, chantante des cris du ciel, oiseau brisé des puits d'amour. Un enfant. Ignoré, Ignorons.Cette Lune d'un crépuscule, ravagé de larmes de hontes, il prit les routes, il prit l'aroute. Camille n'en buvait pas, n'en goûtait pas, n'en voulait pas; il n'aspirait qu'au vent sur l'eau, qu'à l'eau sur la peau.Vingt-huit années ; il y eut les ans de solitude. Et une révolution, révélation des peurs, des poignards sur son cœur. Malheur lui fut. Au coin d'une rue, il déc-ouvra. L'ange tombé, du haut des orbes du cosmos gris, même un peu morne, sous la lumière de l'aimer, il reconnut, un chant damné. Un Homme. Les draps, goulument, burent la liaison de leurs rages partagées. Charles. Charles. Golden Eye. Souffle Anglais d'une bourgeoisie interdite. C'est effleurer, doucement, le souvenir des pleurs d'un mœurs. L'auberge gronda un désastre lorsqu'il prit l'échapée sous l'aube, reflet dévorant des erreurs du passé. Les miroirs sous la peau, les miroirs sous la peau dès ce jour et à jamais, tintèrent un peu trop faux. Il l'entendit dans un bar, bitume d'un village sans nom, d'une femme sans visage. Poste vaquant, avenir latent, le siège délaissé. Professeur. Il amassa ses gouttes, ses plis de vie mourante, il enterra les routes, courues contre courant. Rasant les poils de bête, sauvage, loup affamé. Il coucha l'animal au coin de ses méfaits. Le Fauve ronronna, au plaisir de sa peur, grattant l'arc du malheur, d'une griffe de rancœur. Poudlard, retour au sein fureur, délaissé pour l'Aventure, retourné par trahison, cabossé d'existence, de rires brisés. La qualification acquise, cette Grand Porte sublima l'idée ouverte d'un commencement meilleur. L'Hibou vint à la Nuit. Plumes brossées de poussière d'astre. Son bec mouillait la lettre ; coïncidence de la poussière des choses. " Il s'appelait Naos. " Alors il sut. Petits faits du Grand Camille Deniger:A vécu de par le Monde, parle Couramment le français, L'Allemand et l'Anglais. Animagus (option ?) suite à un entraînement rudement mené. Inscrit sur les registres su Ministère. N'a pas connu le système éducatif jusqu'à ses onze Ans et son entrée à Poudlard. Fut un élève respectée et respectable; malgré de piètres résultats en Histoires de la Magie, obtint de bons résultats durant tous son cursus. Fan de la chanson française (d'antan) Camille est bisexuel Ne compte pas révéler son identité auprès de Naos mais lui voue une Admiration déstabilisante Miroir du Rised
Alors, c'est quoi ton pseudo? Jaja Ah! Et quel âge as-tu? 17 ans Hm hm! Et comment as-tu connu le forum? via une pote Et que penses-tu de Riddikulus ? C'est très blue Et un commentaire avant de terminer? Oui à la libération de la St Pelle.
Dernière édition par Camille Deniger le Dim 9 Nov - 17:16, édité 15 fois |
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